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AccueilNuméros345Les points forts de ce numéro

Zohra Bouamra-Mechemache, Sabine Duvaleix-Tréguer, Aude Ridier
Contrats et modes de coordination en agriculture
Les contrats agricoles incitent à la performance et/ou assurent contre les risques. Les OPs réduisent les asymétries dans les rapports de force amont-aval des filières. L’analyse des contrats agricoles européens est inexistante par manque de données.

Angelo Zago
La réputation collective sur les marchés agricoles
La réputation collective des produits agricoles peut améliorer les coordinations entre acteurs des filières. L’hétérogénéité des acteurs et les règles collectives sont déterminantes sur l’efficacité du dispositif de réputation collective. Le cas des AOC viticoles en France et en Italie est discuté

Pascale Magdelaine, Guillaume Coutelet, Sabine Duvaleix-Tréguer
La contractualisation dans le secteur aviculture chair
En France, le fonctionnement des contrats en aviculture soulève des questions. Une analyse a été menée sur le rôle des contrats avicoles et leurs objectifs. Leur grande diversité illustre la pluralité des organisations de la filière. L’étude montre que la qualité de la coordination joue sur la compétitivité du secteur.

Gérard You
Contractualisation et modes de coordination dans la filière laitière
Avec la fin des quotas laitiers, les éleveurs adhérant à une coopérative ont l’assurance d’un débouché. Les livreurs à des transformateurs « privés » deviennent les fournisseurs d'un contrat commercial pour une durée et un volume limités. Des organisations de producteurs émergent dans ce nouveau paysage laitier, dont le pouvoir dépendra de leur capacité à massifier l’offre laitière.

Estelle Antoine, Marie-Alix Roussillon, Vincent Legendre, Michel Rieu
Les contrats de commercialisation des animaux en France. Une réponse à la variabilité du prix du porc ?
En France, 90% des porcs sont commercialisées par des Organisations de producteurs. Un prix de référence bihebdomadaire est établi selon des modalités transparentes. Il y a peu de contrats de commercialisation en France, à l’inverse des Etats-Unis. Les contrats actuels ne compensent pas les variations de prix d’un marché concurrentiel.

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